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Puisqu’un groupe de danse Renaissance était en concurrence avec nous, c’est que des orgas étaient intéressés par le sujet. Avec l’aide de Spark, je suis en train de vous faire une vidéo de e-learning sur le branle d’Ecosse. Ce serait bien que plusieurs d’entre vous soient capables de faire une démo, et d’entrainer le public.
Si tout va bien, Syd et Nicky devraient pouvoir participer avec nous!!!!!
Je ne sais pas comment compléter la fiche que j’ai remplie hier, alors je le fais ici.
Si Matt, Pierre et Salomé sont là, on peut envisager la « conférence » sur l’histoire de la danse écossaise, depuis la Renaissance (ils en veulent? on sait faire!) avec démonstrations et projection de photos et vidéos, si on peut avoir un projecteur et un écran.
Par contre, j’avais proposé une conférence participative, où on aurait invité le public, mais avec la Covid, ça va être compliqué, difficile de porter un masque en costume XVIIIème.
A ce sujet, dans vos échanges, j’ai vu mentionner la possibilité de demander au public de porter des gants. Surtout pas!
S’il s’agit pour la personne qui porte les gants de protéger les autres, c’est loupé, on les expose au contraire à un risque supplémentaires. Primo, à part des professionnels bien entrainés, personne ne sait les mettre sans toucher l’extérieur, donc si on a du virus sur les mains, on en met sur les gants. Secondo, quand un virus est sur le gant, il est infiniment plus difficile de l’en déloger par lavage ou par gel hydroalcoolique que sur des mains nues (en plus, l’alcool risque de rendre les gants poreux). Résultat: on en fout partout!
S’il s’agit de se protéger soi, ça ne sert à rien, le virus ne passe pas à travers la peau. Par contre, une fois qu’il y en a sur les gants, on en met sur tout ce qu’on touche (par exemple son visage, ou quelque chose qui touchera ultérieurement son visage), et on s’en met sur les mains en enlevant les gants, si on ne maitrise pas la bonne méthode.
Partante pour un autre stage de danse! Pour partager ce qu’on a appris le WE passé, et rajouter le foursome reel. Même principe que le reel à 3, mais à 4, c’est plutôt plus facile. Attesté qu’à partir des années 1770, mais existait certainement déjà en 1747, quand Peacock a commencé à enseigner, sinon il aurait signalé son apparition dans son bouquin, qui se veut une histoire de la danse.
Du moins pour Sully, car je ne suis pas libre, pour l’instant à la date de Goulaine…à moins que la presta du bagad de Boulogne prévue ce jour-là ne soit annulée…
Emma ne peut pas venir? ou un piper? Ou n’importe un musicien à inviter spécialement? Ce n’est pas très histo, mais à défaut de la musique qui correspond à la danse, on peut danser sur n’importe quel reel ou jig. Après, il y a la solution « cours de danse » sans musique. Il y aurait aussi le puirt-a-beul, quel chanteur s’y colle? Moi aussi j’aurais beaucoup aimé participer à cette super sortie, à mon avis la plus sympa de l’année, mais si je me désiste au bagad, leur sortie est annulée, je ne peux pas leur faire ça.
Sniff, je ne pourrai pas venir: je me suis engagée pour une presta du bagad de Boulogne. Sachant que nous ne sommes que deux pipers cette année, si je me désiste, la sortie est annulée…Amusez-vous bien!
vu qu’on ne peut plus, apparemment, corriger un message sur le forum:
Le « encore lui » à propos de Mathieu est du à une inversion de paragraphe
En danse, on pourrait faire une conférence participative (excuse-moi de donner l’impression de te copier, Niko, j’avais préparé ma réponse avant d’ouvrir le forum).
Donc, explications théoriques sur l’histoire de la danse écossaise, abondamment illustrées de photos, vidéos, démonstrations, et on invite au fur et à mesure le public à nous rejoindre, pour des danses entières ou des extraits.
Vu le contexte, on pourrait élargir le sujet aux interactions avec la danse française. De toutes façons on est obligé de parler de l’influence de la France sur l’Ecosse, mais l’influence de l’Ecosse sur la France, et les origines communes, sont rarement traitées.
Il faut un video projecteur et un grand écran, ils doivent pouvoir nous trouver ça. Ce serait bien d’obtenir les autorisations des auteurs de vidéos pour les passer en public, par exemple pour une belle country dance moderne, vu que nous-mêmes ne sommes pas au point, la branche parisienne de la RSCDS accepterait probablement, si Mathieu (encore lui) leur demande. Pour les Highland dances modernes, on pourrait, toujours dans l’esprit France/Ecosse prendre comme exemple Fanny Aubray, une française qui cartonne dans les compétitions.
On a surtout besoin de Mathieu et Pierre pour une démo de scotch reel XVIIIème, vu que je n’ai trouvé aucune vidéo sur Internet…
Et encore faut-il que je sois disponible ce jour-là
Et puis va falloir prendre l’habitude de commencer la danse suffisamment tôt pour que Hervé ne soit pas obligé de nous quitter pour aller préparer à manger.
A l’endroit où nous étions placées ce week-end, Laurence et moi, les visiteurs qui arrivaient par le côté « communs » nous voyaient en dernier. Nous sommes rendues compte que même quand ils s’étaient arrêtés aux autres animations de la troupe, beaucoup (enfin, tous ceux avec qui nous avons discuté…) n’avaient pas compris que nous représentions des Jacobites, ni ce qu’était ce mouvement. Ni même parfois qu’il s’agissait de l’Ecosse au XVIIIème.
Je pense que l’explication est donnée par les recruteurs, ou au début de l’animation « jour d’avant », et d’autres parmi vous en parlent certainement, mais il faut que le visiteur arrive pile au bon moment pour en profiter.
Que penseriez-vous de fixer sur un poteau bien en évidence un parchemin calligraphié, expliquant le contexte en quelques phrases bien étudiées ?
Autre solution : mettre en première ligne l’atelier white cockades (en étalant bien des rubans au sol pour éveiller la curiosité), avec mission de dire ce qui est sur le parchemin, de façon plus vivante. Mais on ne peut pas espérer avoir quelqu’un à ce poste en permanence.
Miam, beau programme!
Hervé, je t’avais dit que je ramènerai de quoi faire des mistembecs le dimanche après-midi, mais je n’ai pas trouvé de sources pour le XVIIIème, j’ai pas trop pris le temps de chercher, non plus. Alors plutôt que de dire de bêtises, je préfère m’en tenir aux shorties. De toutes façons, ça ne change rien pour les repas, c’est en plus.
Suite des lits musicaux: en fait, Laurence est d’accord pour dormir sous la tente, donc si quelqu’un veut la place, c’est faisable
Elle aura une de mes tentes-échoppes, non histo donc, à mettre dans un endroit pas trop en vue. Par contre, j’utilise la mienne, montée en canadienne (sans les planches) pour poser mes instruments de musique à l’abri sur le lit, je la laisse ouverte pour que le public voit l’intérieur, et j’installe les ateliers guérisseuse et brodeuse (si j’ai le temps de mettre au point ce dernier) à côté.
heure d’arrivée: ben ça dépend de la circulation et du GPS, l’an dernier on avait bien mis plus de 5h alors que Via Michelin en annonçait moins de trois… Si tout va bien, on devrait arriver vers 17-19h
Je pensais dormir sous la tente, mais puisque tu m’as réservé une place en salle chauffée, je veux bien la garder pour Laurence qui est frileuse.
tu file la leine, maintenant, Emeash?
J’apporte des pommes pour la compote, ainsi que la pâte à oublies toute faite, et les ingrédients pour les mistembecs. Plus une poêle à long manche et trépied, le moule à oublies. et la vaisselle qui va avec. Tout le matos, quoi.
Mais je ne pense pas qu’il faille faire en même temps les 2 desserts, qui ne peuvent pas cuire sur le même feu. On a les oublies avec de la compote pour un repas, les mistembecs au miel pour un autre, et c’est déjà un sacré boulot. Surtout pour les oublies, il faut gérer l’intensité du feu de petit bois, pour qu’elle reste à peu près constante, assez forte, pas question de faire autre chose en même temps. Quant aux mistembecs, si on les fait dans une poêle à long manche (très « méd », voir l’iconographie) ce n’est pas commode, il faut tenir le manche en permanence, on n’a plus qu’une main pour tout le reste. L’idéal serait d’être à deux: une personne qui tient le manche et gère le feu, l’autre qui s’occupe de cuire la pâte
Maintenant que j’ai de nouveau accès au forum, je renouvelle la demande que j’avais faite sur Face Book
Laurence: sympathique, études d’histoire, intéressée par plein de choses, connaissances en plantes médicinales, broderie, prête à participer aux corvées
Costume OK dans la mesure où Flora a gentiment proposé de lui prêter un haut (sous réserve que Niko lui ramène après la sortie, car elle ne sera pas à Breteuil). Je m’occupe du reste
Je lui prête une tente-échoppe une place (à mettre dans un endroit pas trop visible, car planches non histo)
Elle pourra tenir l’atelier plantes médicinales et broder des poches si on a le temps de préparer l’animation d’ici-là.
Je n’avais pas du tout envie de venir à Amboise en médiéval, mais si je veux récupérer le matos qui était dans la remorque de Franck sans faire 200km exprès, c’est la seule solution. Car je suppose que vous n’aurez pas la place, Niko et Salomé, de l’apporter à Breteuil? Si je peux passer chez vous le vendredi après-midi avant Amboise, ce ne sera pas un gros détour.
Tant pis pour le costume, qui n’est pas top, j’essayerai de compenser par la qualité des animations.
Donc je me suis remise à la vièle à archet, je vais tenter aussi la cornemuse méd, sans garantie de résultat.
Et comme il n’y a pas de guérisseuse, je m’y colle.
Pour la cuisine, je propose d’apporter le matos et les ingrédients pour des « oublies » (= gaufrettes), qui, avec de la compote de pommes, font un très bon dessert, et des mistembecs (= beignets de pâte levée) qui se suffisent à eux-mêmes. Je veux bien éplucher les pommes, mais la cuisson de tout cela prend beaucoup de temps, c’est un peu bête que pendant ce temps-là je ne puisse pas jouer de la musique ou tenir l’atelier plantes médicinales, y a-t-il des volontaires parmi ceux qui n’ont pas d’animation particulière ?
merci pour l’info, Flora
J’avais vu sur le planning époque XVIII, mais en fait ce devait être une erreur de copié/collé car il y avait « Montbazon » à côté (ça, j’avais pas vu).
Je m’étais donc inscrite, mais si c’est en XIII-XIVème, j’hésite, car je n’ai pas de costume correct pour un évènement sérieux du point de vue reconstit, et je ne suis plus assez motivée par le médiéval pour prendre la peine d’en faire un.En plus je ne suis pas encore au point en cornemuse médiévale (doigté très différent du small pipe et du great pipe, ça me perturbe) ni en vielle à archet (qui diffère aussi du violon), ne parlons pas du rebec qui a un son atroce, reste le tambour med, encore faudrait-il avoir quelqu’un à accompagner, et ça irait pas avec mon voile à guimpe. L’enluminure, ça arriverait comme un cheveu sur la soupe dans le contexte Saor Alba. Les plantes médicinales, peut-être, mais toujours le problème du costume.
D’un autre côté, faudra que je récupère mon matos qui est dans la remorque de Franck/Cassandre, je vais voir avec eux.
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